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« La valeur d’une vie humaine est si grande… »
« AMORIS LAETITIA » du Saint-Père François. Troisième chapitre. Le regard posé sur Jésus : La vocation de la famille
Si la famille est le sanctuaire de la vie, le lieu où la vie est engendrée et protégée, le fait qu’elle devient le lieu où la vie est niée et détruite constitue une contradiction déchirante. La valeur d’une vie humaine est si grande, et le droit à la vie de l’enfant innocent qui grandit dans le sein maternel est si inaliénable qu’on ne peut d’aucune manière envisager comme un droit sur son propre corps la possibilité de prendre des décisions concernant cette vie qui est une fin en elle-même et qui ne peut jamais être l’objet de domination de la part d’un autre être humain (AL 83)
Mais il me semble très important de rappeler que l’éducation intégrale des enfants est à la fois un « grave devoir » et un « droit primordial » [AL 96] des parents. Cela ne constitue pas seulement une charge ou un poids, mais c’est aussi un droit essentiel et irremplaçable qu’ils sont appelés à défendre et dont personne ne devrait prétendre les priver (AL 84)
Extraits de “Amoris laetitia” déjà parus
Exhortation apostolique post-synodale « Amoris laetitia » (texte intégral)
- La gestation pour autrui : une atteinte grave à la dignité humaine
- Zugangsbedingungen verbessern und mehr Flexibilität
- Jamais nous ne pourrons transmettre l’atmosphère et l’expérience que nous avons vécues
- L’Église vit d’une vie authentique lorsqu’elle professe et proclame la miséricorde
- Deux « Motu Proprio » pour simplifier les procédures en nullité de mariage
- « Dans les jours difficiles pour la famille, il y a une union avec Jésus abandonné »
- « Quand la recherche du plaisir est obsessionnelle… »
- « Ne pas renoncer à proposer le mariage… »
- « L’amour a besoin de temps disponible et gratuit »
- « L’union trouve dans cette institution la manière d’orienter sa stabilité »