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« Il y a des cas où la séparation est inévitable »
« AMORIS LAETITIA » du Saint-Père François. Sixième Chapitre : Quelques prespectives pastorales
Il faut reconnaître qu’« il y a des cas où la séparation est inévitable. Parfois, elle peut devenir moralement nécessaire, lorsque justement, il s’agit de soustraire le conjoint le plus faible, ou les enfants en bas âge, aux blessures les plus graves causées par l’abus et par la violence, par l’avilissement et par l’exploitation, par l’extranéité et par l’indifférence ». Mais on ne peut l’envisager que « comme un remède extrême après que l’on [a] vainement tenté tout ce qui était raisonnablement possible pour l’éviter ». (AL 241)
Les Pères ont signalé qu’« un discernement particulier est indispensable pour accompagner pastoralement les personnes séparées, divorcées ou abandonnées. La souffrance de ceux qui ont subi injustement la séparation, le divorce ou l’abandon doit être accueillie et mise en valeur, de même que la souffrance de ceux qui ont été contraints de rompre la vie en commun à cause des mauvais traitements de leur conjoint. » (AL 242)
Extraits de “Amoris laetitia” déjà parus
Exhortation apostolique post-synodale « Amoris laetitia » (texte intégral)
- La gestation pour autrui : une atteinte grave à la dignité humaine
- L’Église est appelée à vivre sa mission dans la fidélité, la vérité et la charité
- Kardinal Müller: Gender-Theorie blüht im ideologischen Vakuum auf
- L’Église vit d’une vie authentique lorsqu’elle professe et proclame la miséricorde
- Cardeal Müller: Ideologia de género converteu-se numa nova religião
- „Man muss zugeben, dass es Fälle gibt, in denen die Trennung unvermeidlich ist“
- « On ne peut pas avoir sous contrôle toutes les situations qu’un enfant pourrait traverser »
- In der Familie ist es nötig, drei Worte zu gebrauchen. Ich will es wiederholen. Drei Worte: „darf ich?“, „danke“ und „entschuldige“. Drei Schlüsselworte!
- „Die Erziehung der Kinder muss von einem Weg der Glaubensweitergabe geprägt sein“
- Une « société sans pères »